LOCATION/REPRESENTE:
Le Bronx, New York

En 1969 Afrika Bambaataa rejoint le "Bronx River Project's" du gang "Black Spades street gang" situé dans le sud-est du Bronx, où il devient "warlord". Toujours un fervent amateur de musique (il prit des cours trompette et de piano pendant une courte période au lycée d'Adlai E. Stevenson), Bambaataa a également une importante collection de vynils, qui rassemble tout du R&B au Rock. En 1970 il est déjà DJ dans des "house party". A partir de 1973 Afrika Bambaataa s'interresse de plus en plus au deejaying, lorsqu'il entendit "Kool DJ D" et "Kool DJ Herc"

Pendant que le gang "Black Spades street gang" commençe à s'éteindre vers 1973, bam décide de constituer un groupe au lycée "Stevenson", qui au début se nomme "Bronx River Organization", puis plus tard "Organization". Alors Bam débute en tant que DJ (avec son propre système son) au centre "Bronx River Commuinity" , en compagnie de M. Biggs, Reine Kenya. En raison de son statut antérieur dans les "Black Spades", bam a d'anciens membres du gang comme supporteurs.

Environ un an après il décide de reformer un groupe, appellé "Zulu Nation", nom inspiré par ses études sur l'histoire africaine. Cinq B-Boys (breakdancers) le rejoignent et le surnomment "Shaka Zulu a.k.a. Rois Zulu"; il y a également la reine "Shaka Zulu". Pendant que bam continue le deejaying, de plus en plus de Djs, de rappers, de breakdancers, de graffeurs et d'artistes suivent ses convictions, et il les prend sous son aile et leur fait membres de la "Zulu Nation".

DES CONTRIBUTIONS
REMARQUABLES POUR LE HIP HOP:

Afrika Bambaataa est un des trois créateurs principaux du "break-beat deejaying", et il est reconnu en tant que "grand-père" et "parrain" du Hip-Hop. À un moment où les "Djs Hip-Hop" sont reconnus pour les différents styles qu'ils jouent, bam est surnommé "Master of Records" et est acclamé pour la grande variété de disques de musique et de coupures qu'il présente aux amateurs de Hip-Hop, (il y inclus du go-go, du soca, du reggae, et de la musique africaine).

En raison de l'utilisation rapide des "drum machines" et de boites à rythmes, Afrika Bambaataa change la manière d'enregistrer du R&B et d'autres formes de musique noire. Sa création de "electro funk", commençant par son morceau "Planet Rock", aide au développement d'autres genres musicaux tels que le "Freestyle" ou "Freestyle Latin", "Miami bass", "house", "hip-house" et bientôt la "techno".